Dans une misérable chambre de bonne au huitième sans ascenseur, se déroulent les dernières heures de la vie de Michel. Dix ans auparavant, sa mère, anarchiste et catholique pratiquante, l’a contraint à quitter le canapé familial d’où il contemplait du matin au soir la tapisserie du salon, lui faisant ainsi découvrir conjointement l’angoisse, la peur de la mort, la culpabilité, le devoir, la morale et les serveurs vocaux de l’administration française…
J’aurais voulu être un pot de fleurs
Collectif Xanadou