Incarner un personnage, c’est comme enfiler une moufle : l’important c’est de ne pas se tromper de sens". Forte de cet enseignement appris en stage, une conteuse, qui aurait voulu être mystérieuse et magnétique, entre en scène.
Théâtreuse illuminée aux emportements enfantins et aux élans déjantés, cette conteuse malhabile voudrait raconter coûte que coûte l’histoire de ce « petit garçon » qui parvient à s’aventurer hors de chez lui, avec une folie généreuse et sans complexe.
Le cri de la plante verte
Modula medulla