C’est en vivant l’expérience du Fest-Noz qu’elles commencent à créer le duo, en observant les pas de danse et surtout la relation des danseur·ses entre eux/elles. L’énergie exprimée s’invite en elles. Il s’agit alors de retranscrire à elles deux l’élan jovial et entraînant que produisent ces rencontres, ces partages de savoirs, cette joie d’être ensemble, mais aussi l’énergie salvatrice d’un héritage commun.
Tsef zon(e)
Cie C’hoari